mercredi 31 janvier 2007

La belle-mère fait des siennes!

Hier, Bernard Landry, la belle-mère de l'Instant au PQ (dixit mister pi ;)), s'est clairement prononcé CONTRE les accommodements raisonnables à CHOI. EN fait, il dit qu'il en faut le moins possible... Et à qq nuaunces près, il appuie Mario Dumont. Reste à voir si Sniffy est constant et s'il va traiter Landry su pire des Républicains.

Toujours au sujet de Landry, il questionne lui aussi le leadership de Boisclair. Finalement, la venue de Sniffy aura été une bonne chose; le PQ va prendre une débarque à la prochaine électioN!

mardi 30 janvier 2007

L'illusion souverainiste

Ce matin à CHOI, Marc Laviolette (ex-CSN, SPQ-Libre maintenant) a prouvé le point de Frédéric Têtu dans l'illusion tranquille: tout sera réglé avec la souveraineté. Bien que je ne nie pas qu'Ottawa perçoive plus qu'il n'a de compétences, il est faut de dire que tout sera réglé en se séparant. Nous hériterons d'au moins 20% de la dette canadienne, et les actifs dont nous hériterons en vaudront-ils autant la peine? Je ne veux pas vivre dans un improbable pays où l'État est une prothèse!

IL prétend qu'il n'y a pas de copinage avec le PQ... tout en se prétendant souverainiste. Enfin, il affirme que les Québécois sont définitivement "solidaires". Si vous vous rappelez le sondage récemmemnt, on demandait aux gens s'ils étaient prêts à RENONCER à des choses. Les hommes sont foncièrement égoistes...

lundi 29 janvier 2007

Non-accommodement déraisonnable

http://www.radio-canada.ca/nouvelles/regional/modele.asp?page=/regions/mauricie/2007/01/27/001-herouxville-immigramts.shtml

J'ignore s'il s'agit d'un coup de pub pour la municipalité, mais il faut admettre que ce petit territoire a tout de même fait parlé de lui.

Toutefois, c'est nettement allé trop loin. Interdire aux gens de se voiler sauf à l'Halloween... j'espère que l'hiver sera court! Et quand à la non-acceptation de faire soigner une femme par une autre femme, c'est aussi exagéré. Cette demande va au-delà de la religion: et si ladite patiente craint les hommes pour une quelconque raison psychologique?

De toute façon, si qqn conteste ce règlement, il aura sûrement gain de cause

jeudi 25 janvier 2007

Démocratie? Quelle démocratie?

Hier, Daniel Turp a tenu un soporifique discours sur une consitution du Québec dans un improbable Québec souverain. IL s'est même permis de dire que "MArio Dumont n'a pas le monopole des valeurs québécoises". Venant que qqn membre du parti QUÉBÉCOIS, ça mérite une claque derrière la tête.

Les grandes lignes: avant cet improbable référendum, le PQ aurait en main une constitution provisoire, rédigée sans consultation publique, "afin d'éviter la division". Qui donc essaie de diviser le Québec?

jeudi 18 janvier 2007

L'illusion tranquille

Si jamais vous en avez la chance, vous devez absolument voir ce film. Même s'il ne présente qu'un point de vue, soit celui du libre-marché (on ne présente pas l'autre à cause des producteurs our parce que les syndicaleux ne voulaient pas parler? mystère), il permet finalement de sortir du dogme étatique du Québec.

Ce documentaire (réalisé sans subvention) détruit point par point, et chiffres à l'appui, la religion étatique québécoise.

Quelques points:
- Le bas frais (garderies, universités...) profitentn davantage aux riches qu'aux pauvres. En fait, on nuit à ces derniers
- On dénonce (avec raison) les paradis fiscaux... mais qu'en est-il des paradis syndicaux? La fonction publique (et les travailleurs municipaux) prétendent défendre la qualité des services et tiennent mordicus à ce qu'ils demeurenent entièrement publics... sauf quand ils font la grève, et ça arrive souvent (pensons au RTC)
- D'ailleurs, quand on regarde les grandes centrales et le PQ, on conclut que c'est presque bonnet blanc et blanc bonnet. La folle et l'enragé ont même déclaré récemment qu'ils étaient souverainsites. est-ce le cas de tous leurs membres?

La conclusion: on lave nos lunettes avec du pepto-bismol et on refuse de voir le mur vers lequel on fonce. Bien que Charest ait tenu tête aux syndicaux, il marche encore au pas

jeudi 11 janvier 2007

l'illusoire gratuité.

Encore cette année, le débat fait rage: geler, dégeler, indexer ou anéantir les frais de scolarité? Et comme toujours, ceux qui optent pour les options du milieu, fussent-elles réalistes, sont démonisées.

Le socialistes semblent oublier que l'argent ne pousse pas dans les arbres. Prenons la Finlande, puisque bien des gens l'aiment. Là-bas, l'université ne coute rien... mais l'entrée y est fortement contingentée. Et de toute façon, http://www.scom.ulaval.ca/Au.fil.des.evenements/2006/10.05/scolarite.html montre bien que le montant des frais n'influence pas la fréquentation; en fait, ceux qui profitent le plus du gel au Québec sont les gens plus riches, comme c'est le cas pour les CPE

Heureusement, l'ADQ propose une solution qui permettrait un dégel pas trop sauvage: indexer les frais à l'inflation. Dommage que les grandes gueules démagogiques ne veulent rien entendre...

mardi 9 janvier 2007

Le travailleur vs le chiâleur

Coup sur coup, nous avons pu apercevoir les deux types d'emplyés au Québec: le travailleur et le chialeur. Le premier semble se situer exclusivement en Beauce. Ce dernier, lorsqu'il perd son emploi, se retrousse les manches pour s'en trouver un autre, quitte à demander de l'aide à ses amis. Malgré la fermeture soudaine d'une usine Québécor en Beauce, ses travailleurs ne se sont pas affaissés.

Le second, au contraire, aura comme réflexe de brailler au gouvernement pour que ce dernier l'aide 1) à garder l'entreprise ouverte ou 2) à obtenir des subventions pour être relocalisé. Ce dernier est tellement répandu qu'on se demande après pourquoi nous sommes aussi endettés. Regardez l'usine Goodyear de Valleyfield: presque le jour de la fermeture, la FTQ a imploré les gouvernements de les aider. Né pour un petit pain...
Et en plus, demander l'aide du gouvernement ne fait que fausser le marché. Si une entreprise non agricole est incapable de vivre sans subvention, alors elle ne vaut rien. Mais malheureusement, pour couper les subventions, il faut s'assurer que les autres le font, ce qui n'est pas le cas